de l'histoire à la légende...
Un corps sans vie. Une femme d'une soixantaine d'année s'est suicidée d'une balle tirée dans la bouche.
Ancien journaliste d'investigation, Raphaël Bertignac, immortalise la scène.
Les morts c'est son domaine... Mais cela ne l'empêche pas de se retrouver, on peut le dire, sur le carreau...
Paris, juin 2015. Dans un appartement aux allures de chapelle, une jeune femme, Mathilde, s'est tailladé les veines avec un crucifix.
Avant de commettre l'irréparable, elle a cherché à s'arracher les yeux.
Plus étrange encore, ces liasses de feuilles froissées sur lesquelles elle a griffonné le même nom : Nosferatu.
Un mot roumain qui renvoie aux non-morts et aux vampires.
Raphaël Bertignac,
fait le lien avec la découverte dans un parking en construction,
quelques mois plus tôt, du corps d'un jeune Roumain sans papiers. Vidé de son sang. À moitié dévoré.
Les organes arrachés. Des affaires en apparence distinctes. Et pourtant...
Raphaël Bertignac se dit qu'il y a là de quoi relancer sa carrière.
Publié le jeudi 07 février 2019 à 10h30. |
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